Sources |
- [S13] Ukwn, Genealogies Hemond - Comte Soulanges, (Genealogy), G-2.
- [S688] Robert Hemond, csv, Jean-Baptiste Edmond et Mary Kelly, leurs enfants et leurs descendants, (Memoires de la SGCF, vol XXXII No. 1, 1981), hemond_memoires_edmund_kelley.pdf.
- [S694] Charles Henri Dube, Inventaire des Greffes des Notaires du Regime Francais - XXIV Andre Souste & J.-B. Janvrin Dufresne, (Editeur Officiel du Quebec), inventaire_greffes.pdf.
- [S718] Collected by Robert Hemond, Actes, part 1, (A collection of writings and legal proceedings regarding Robert Edmunds and his descendants), hemond_actes_1.pdf.
- [S719] Actes, part 2, (Records and documents collected by Robert Hemond), hemond_actes_2.pdf.
- [S928] Registres de la paroisse Notre-Dame, Montreal, Quebec, Canada.
Le trentième jour de janvier de l'an mil sept cent vingt et quatre a été baptisé Jean Baptiste né d'hier et fils de Jean Baptiste Emon et de Louise Gibeau son épouse. Le parrain a été René Bénard et la marraine Marie-Thérèse Robillard lesquels on déclaré ne savoir signer. Navetier Ptre.
Navetier, Ptre
- [S931] Registres de la paroisse Saint-Michel de Vaudreuil, Quebec, 29 Jan 1795.
L'an mil sept cent quatre vingt quinze le vingt neuf janvier par moi prêtre soussigné a été inhumé le corps de Jean-Baptiste Emond décédé d'hier âgé de soixante six ans muni des sacrements de l'église. Ont été présents Jean-Baptiste Minard et Baltazar Belleville.
j Bte Minard Vallée Ptre
- [S886] Quebec, Catholic Parish Registers, 1621-1979~, aimont_gibeault_marriage.pdf.
Le huitième d'août de l'an mil sept cent dix-huit après la publication d'un ban et la dispense des deux autres accordée par Mr de Belmont grand vicaire de monseigneur l'évêque de Québec ne s'étant découvert aucun empêchement, je soussigné prêtre de la paroisse de Ville Marie ayant pris le mutuel consentement de Jean Baptiste Haimon âgé de vingt ans, fils de Jean Baptiste Haimon et de Marie Queslas ses père et mère de la paroisse de Québec d'une part; et de Louise Gibault, âgée de vingt ans, fille de Jean Gibault et d'Anne Paviote ses père et mère d'autre part de cette paroisse, les ai mariés en présence d'Antoine Frutier, de François Tarte, de Jean Gibault et de Jacques Lasele, François Tarte et Jean Gibault ont déclaré ne savoir signer de ce enquis. Jacques de la celle, Antoine Frutier, Joseph Madore, Raugeard faisant les fonctions curiales.
- [S957] Institut Drouin, Montreal., Hemond, Claudette: Arbre Genealogique.
- [S927] Fonds des greffes de notaires du Québec, Coron No 1181, 21 février 1751.
Contrat de mariage de Jean-Baptiste Emont et Angélique Moineau
Par devant le notaire royal de Montréal résidant à l'Ile Jésus soussigné et témoins en fin nommés, furent présents Sr Jean-Baptiste Emont habitant de la Seigneurie de Vaudreuil, fils de défunt Jean-Baptiste Emont et de dame Louise Gibaux, pour lui et en son nom d'une part; et Sr Jacques Moinaux habitant de la côte St Léonard, stipulant pour Angélique Moinaux sa fille et de dame Marie Louise Lehoux, sa mère d'autre part;
Lesquelles dites parties de l'avis et consentement de leurs parents et amis pour ce assemblées de part et d'autre et ci-après nommés, savoir de la part du dit Jean-Baptiste Emont, Sr Joseph Emont, son frère, Paul Léger, son beau-frère, Antoine Larivière aussi beau-frère, Joseph Lajeunesse, ami, Jean-Baptiste Jacques, aussi ami, Marie et Marianne Emont, ses soeurs;
et de la part du dit Sr Moinaux et Angélique Moinaux sa fille, Joseph Lehoux son oncle, Nicolas et Pascal Moinaux ses frères, Jean-Baptiste Béhicque son beau-frère, Sr Charles Robidou son oncle, Thérèse Lehoux sa tante, Joseph Laplante, Marie-Françoise Laplante et dame Marie Robidou, tous amis.
Ont fait les dites parties de bonne foi les traité, accord et convention de mariage qui suivent, savoir que les dits Jean-Baptiste Emont et Angélique Moinaux ont promis et promettent se prendre l'un et l'autre pour mari et femme par nom et loi de mariage et ledt mariage faire célébrer et solemniser en face et sous la licence de notre mère Ste Eglise catholique, apostolique et romaine dans le plus bref temps que faire ce pourra, organisé et délibéré sera entre icelles parties, parents et amis, pour être comme seront en effet, les dits futurs époux vus et communs en tous biens meubles, acquêts et conquêts, immeubles suivant et au désir de la coutume de Paris, sous laquelle la dite communauté sera régie, réglée et gouvernée et pour ce regardant renoncé à toute coutume à ce contraire,
et pour la bonne amitié que porte ledt futur époux à sa dite future épouse, il l'a doué et doue de la somme de trois cents livres de douaire préfix, à la voir prendre, recevoir et percevoir en et sur tous les plus clairs et apparents biens présents et à venir du dit futur époux qu'il en a dès à présent chargé, affecté, obligé et hypothéqué à fournir et faire valoir le dit douaire dont elle aura délivrance sitôt que douaire aura lieu sans qu'elle soit tenue de le demander en justice. Le survivant des dits futurs époux aura et prendra pour préciput des biens meubles de la dite communauté, tels qu'il les voudra choisir suivant la prisée qui en sera faite par l'inventaire et sous criée, jusqu'à la somme de cent cinquante livres ou la dite somme en deniers comptants, au choix du dit survivant, avec son lit, linges et hardes à son usage sans alimentaire;
a dit et déclaré le dit futur époux qu'il a une terre située dans la Seigneurie de Vaudreuil de la contenance de trois arpents de front sur vingt arpents de profondeur, tenant par devant au fleuve St Laurent, par derrière aux terres non concédées, d'un côté Philippe St Germain, d'autre côté Lajeunsse, avec une maison construite sur la dite terre laquelle terre le dit futur époux veut et entend entrer sur la future communauté comme si ce fut un acquêt fait dans icelle communauté
sera loisible à la dite future épouse, survivant à son dit futur époux, de prendre et accepter la dite communauté ou à icelle renoncer, y renonçant, de reprendre tout ce qu'au dit mariage elle y aura apporté et tout ce que pendant icelui lui sera avenu et échu par succession, donation ou autrement avec ses douaires et préciput tels que dessus, le tout franchement, quittement et nettement sans être tenue d'aucune dette ni hypothèque de la dite communauté quoi qu'elle y eut parlé, s'y fût obligée ou y eut été condamnée dont elle sera indemnisée par et sur les biens du dit futur époux ou par les héritiers
et pour la bonne amitié et amour réciproque que se portent les dits futurs époux l'un à l'autre, ils se sont fait et se font par les mêmes présentes donation mutuelle, réciproque et viagère en la meilleure forme et manière que donation puisse être et valoir sans jamais pouvoir ni vouloir la révoquer.
Le survivant d'eux ce acceptant de tous généralement les biens qui pourront être et appartenir au premier mourant pour en joüir par le dit survivant en usufruit, sa vie durant seulement. La dite donation ainsi faite au cas qu'il n'y ait point d'enfants vivants nés et procréés du dit futur mariage auquel cas d'enfants vivants, la dite donation sera nulle et comme non faite et pour faire insinuer ces présentes sur la juridiction royale de Montréal et partout ailleurs ou besoin sera dans les quatre mois de l'ordonnance, les dites parties ont fait et constitué leur procureur le porteur auquel ils donnent tout pouvoir d'en requérir acte;
car ainsi & promettant & obligeant & renonçant & fait et passé à la dite Ile Jésus, étude du dit notaire l'an mil sept cent cinquante et un le vingt et un de février après midi, présence des Srs Jean Landreville, habitant de l'Ile, Sr Lévesque et Augustin Gaulin, forgeron de l'Ile Jésus, témoins qui ont, avec le dit notaire, signé. Les dits futurs époux et tous autres dénommés ayant déclaré ne savoir écrire ni signer de ce enquis, lecture faite suivant l'ordonnance.
Jean Landreville Coron, nre royal
Contrat de mariage de Jean-Baptiste Emont et Angélique Moineau
- [S929] Registres de la paroisse Longue-Pointe, Quebec, Canada, 23 Feb 1751.
Acte de mariage de Jean-Baptiste Aymond et Angélique Moineau
Le vingt-troisième jour du mois de février mil sept cent cinquante et un après la publication faite des trois bans par trois dimanches consécutifs tous dans cette paroisse et celle de Ste Anne du bout de l'isle de Montréal sans qu'il s'y soit trouvé aucun empêchement ni opposition ainsi qu'il apparaît par le certificat de Mr Duperet missionnaire de la susdite paroisse daté du vingt-deux de ce mois, je soussigné, prêtre et missionnaire de cette paroisse y faisant les fonctions curiales, ai reçu le mutuel consentement par paroles de présents Jean Baptiste Aymond âgé de vingt-six ans, fils de défunt Jean-Baptiste Aymond et de Marie Gibault, ses père et mère de la paroisse de Ste Anne au haut de l'isle de Montréal d'une part et d'Angélique Moineau, fille de Jacques Moineau et de Marie-Louise Lehoux, âgée de dix-huit ans ses père et mère de cette paroisse d'autre part, leur ai donné la bénédiction nuptiale selon la forme prescrite par notre mère Ste Eglise en présence de Joseph Aymond, frère de l'époux et Paul Léger, Antoine Larivière, ses beaux-frères, de Jacques Moineau, de Jean-Baptiste de Joseph Lehoux, oncle de l'épouse et de plusieurs autres parents et amis lesquels ont déclaré ne savoir signer de ce enquis suivant l'ordonnance.
Favre, ptre
(Registres la paroisse de la Longue Pointe, 23 février 1751)
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